Camps en Europe

Corvol l'Orgueilleux (1963 et 1964), Brunoy (1963), Saint-Brieuc (1964), Levens (1965), Lausanne (1967), Hoyo de Manzanares (Madrid 1968)

jeudi 12 mars 2009

Destination : Paris / Fin juin 1963

Groupe d'Animateurs appelés à encadrer les camps d'été organisés par le DEJJ-France



























Publié par Albert à 00:05 Aucun commentaire:

dimanche 8 mars 2009

Chateau La Vilette/ Corvol l'Orgueilleux/France/Août 1963/Camp organisé par le DEJJ-France

Corvol-l'Orgueilleux, fait partie du département de la Nièvre qui a pour préfecture la ville de Nevers. Située dans le centre de la France à une altitude de 170 mètres cette commune s'étend sur une superficie de plus de 3000 hectares Chateau La Vilette


Simone HORENFELD (Villemomble)

Albert HAZIZA (Safi-Maroc)












































Publié par Albert à 14:43 1 commentaire:
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N'hésitez pas à me faire part de vos remarques et de vos critiques -via notre livre d'or : http://www.swisstools.net/guestbook.asp?numero=86997
Chaque jour, je reçois des dizaines de courriels : j'ai toujours plaisir à ''dialoguer'' avec vous.
Si vous avez des photos des camps cités plus haut, veuillez me les faire parvenir par courriel. Elles seront placées sur ce blog.

Quelques noms de participants dont je me rappelle :

Nelhie et Cathie Délouya, Hélène Ouahnon, Nadine Tébeka, Peggy, Josette Taieb, Louise, Alain, Raphy, Yossi Attal, Samy Tolédano, Esther Bengio (Madrid), Mausi (Madrid), Danièle Amsellem, Haim Benlolo (Bêlier)...

Albert HAZIZA ortalbert@hotmail.com



Albert HAZIZA / Montréal
Profil : L'altruisme et le partage des connaissances sont mon credo. Ma devise : Ne jamais vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué.
Le téléscripteur de nouvelles du Jerusalem Post, édition française, a été installé sur ce blog. C'est un moyen simple et rapide d'avoir les toutes dernières nouvelles sur le Moyen-Orient.
Message de Simone Horenfeld (monitrice à Corvol l'Orgueilleux, en 1963) :


Qui n'a pas un jour rêvé ou espéré retrouver soit des amis d'enfance, soit des amis d'étude ou tout simplement un être qui pendant un certain temps a tenu une place dans votre coeur.
Mais les années passent, les souvenirs s'estompent et votre espoir tombe dans l'oubli.
Subitement un beau jour " Madame Surprise" fait son apparition.

Août 1963- Albert Haziza alors jeune enseignant à Safi ( Maroc) vient se joindre comme moniteur à un camp de vacances pour jeunes organisé par le DEJJ-France à Corvol.
Là se trouve sur place une équipe de moniteurs pour encadrer une centaine de jeunes enfants venus passer un mois de vacances.
Les activités y sont très nombreuses et variées. L'ambiance est super et bien entendu des amitiés se nouent.... Mais comme nous le savons tous les bonnes choses ont aussi une fin
et c'est avec un immense regret que chacun et chacune prennent le chemin du retour.

Un échange de lettres pendant un certain temps puis petit à petit comme le dit si bien le proverbe "loin des yeux loin du coeur" chacun suit le cours de sa vie et de son destin.

Décembre 2008 – C'est pour moi une grande et émouvante surprise que de recevoir un e-mail d'Albert me demandant si j'etais bien Simone Horenfeld qu'il avait connue pendant son séjour à Corvol (où je faisais partie de l'équipe de moniteurs)

Par le biais d'Internet et tout à fait par hasard Albert a donc retrouvé ma trace après 46 ans....
Inutile de préciser combien de merveilleux souvenirs enfouis me sont revenus en mémoire car ce mois passé à Corvol en sa compagnie a été un vrai plaisir.

Voulez-vous vous aussi retrouver vos amis de Corvol ou d'autres camps de vacances du DEJJ?
Alors venez vite vous joindre à ce blog ,crée par Albert, où vous pourrez faire partager vos souvenirs aussi.
Simone Horenfeld


Sauf erreur, les chants publiés ici sont libres de droit : si toutefois je me suis trompé, c'est de bonne foi et en tout état de cause sans but lucratif. Merci aux éventuels ayant droit de se manifester par courriel, je supprimerai ce qui doit l'être ou mentionnerai l'accord de publication.




Que ces chants fusent de partout et emplissent nos coeurs.

Que de toutes les lèvres s'échappent toutes les mélodies.


LES SCOUTS ONT MIS LA FLAMME
Les scouts ont mis la flamme
Au bois résineux
Écoutez chanter l'âme
Qui palpite en eux
Monte flamme légèremonte encore
Et monte haut
Monte encore
Et monte haut
Feu de camp
Si chaud si beau.

J'étais jadis un prince
Perfide et méchant
Dépeuplant les provinces
Des petits enfants
Monte flamme légère
Monte encore...


BRING BACK
Ami qui va courant le monde,
dans le gros temps et par le froid
Ami qui va courant le monde,
quand reviendras-tu près de moi

REFRAIN
Bring back, bring back
ô bring back my
bonny to me, to me (bis)

2 Le soir sur ma couche
je rêve,aux temps
heureux de nos amours
Le soir sur ma couche
je rêve,
que tu es parti pour toujours

3 Un jour sur l’eau
les vents soufflèrent,
poussant le bateau hardiment
Un jour sur l’eau
les vents soufflèrent,
nuits et jours
jusqu’au continent

AU BORD DE LA RIVIÈRE
Au bord de la rivière, m’allant promener

L’eau était si claire, et le vent léger
REFRAIN
Je me suis couché dans l’herbe pour écouter le vent
Écouter chanter l’herbe des champs

2 Au bord de la rivière, les oiseaux du ciel
Chantent leur prière au Dieu du soleil…

LA FILLE DU LABOUROUX
Oh ! C’est la fill’ d’un labouroux (bis)
On dit qu’elle est tant belle, oh ! (bis)

2 On dit qu’elle a tant d’amouroux (bis)
Qu’elle ne sait lequel prendre, oh (bis)

3 Moi, j’ons du blé plein mon grenier (bis)
Des sous pleins ma chaussette, oh (bis)

4 Moi, j’ons des vach’s avec des bœufs (bis)
Mon père il est le Maire, oh (bis)

5 Allez, allez, riches galants (bis)
Veux point de mariage, oh (bis)


LA BELLE FILLE
Elle a les joues et le front hâlés
Le ciel entier se mire en ses prunelles
Elle a les cheuveux couleur de blés
Soleil et brise les ont fait boucler.

REFRAIN
Va d’un bon pas, ne faiblis pas
La route est la meilleure amie mon gars.
Va d’un bon pas, ne faiblis pas
C’est une amie comme il n’y en a pas

2 Elle n’a pas toujours l’air joyeux
Elle est parfois lasse et mélancolique,
Les vents ont déroulé ses cheveux,
Et bien des pluies ont embué ses yeux.

3 Lorsqu’elle se fâche,elle est debout
Ses longs cheveux emmêlés en broussailles
Et la foudre passe en ses yeux fous
Sois cependant fidèle au rendez-vous


AH, SI J’AVAIS LES SOULIERS
Ah, si j’avais les souliers que mon père m’a donnés (bis)

REFRAIN
Les souliers sont en papier et les boucles sont en acier
Mais les talons sont longs hardi capitaine
Mais les talons sont longs hardi moussaillon

2 Ah, si j’avais les chaussettes que mon père m’a données (bis)
Les chaussettes étaient mal faites, les souliers sont en papier…

3 Ah, si j’avais le pantalon que mon père m’a donné (bis)
Le pantalon était trop long, les chaussettes étaient mal faites…

4 Ah, si j’avais la ceinture que mon père m’a donnée (bis)
La ceinture était trop dure, le pantalon était…

5 Ah, si j’avais la chemise que mon père m’a donnée (bis)
La chemise était mal mise , la ceinture…

6 Ah, si j’avais la cravate que mon père m’a donnée (bis)
La cravate était trop plate, la chemise…

7 Ah, si j’avais les lunettes que mon père m’a données (bis)
Les lunettes n’étaient pas nettes, la cravate…

8 Ah, si j’avais le chapeau que mon père m’a donné (bis)
Le chapeau était trop haut, les lunettes…

JE SUIS UN PEU FOU
Je suis un peu fou,sac au dos sans trève
J’emporte mon hibou, mon banjo et mes rêves
Ah, qu’il fait bon là-bas d’aller vivre à l’aventure
Couché sur le sol dur au fond des bois
Quand la lune reviendra, mon hibou hurlera
Tihou, tihou, tra lalalala…
Je suis un peu fou…


CHEVALIERS DE LA TABLE RONDE
Chevaliers de la table ronde,
goûtons voir si le vin est bon (bis)
Goûtons voir, oui, oui, oui,
goûtons voir non, non, non
Goûtons voir si le vin est bon (bis)

2 S’il est bon, s’il est agréable,
j’en boirai jusqu’à mon plaisir (bis)
Et j’en boirai oui, oui, oui,
et j’en boirai non, non, non
Et j’en boirai jusqu’à mon plaisir (bis)

3 J’en boirai cinq à six bouteilles,
et une femme sur mes genoux (bis)

Et une femme, oui, oui, oui,
et une femme non, non, non
Et une femme sur mes genoux (bis)

4 Si je meurs, je veux qu’on m’enterre
dans une cave où il y a du bon vin (bis)
Et dans une cave, oui, oui, oui,
et dans une cave non, non, non
Et dans une cave où il y a du bon vin (bis)

5 Sur ma tombe, je veux qu’on inscrive
‘’ ici gît le roi des buveurs’’ (bis)
Et ici gît oui, oui, oui,
et ici gît non, non, non
Et ici gît le roi des buveurs (bis)

6 La morale de cette histoire,
c’est de boire avant de mourir (bis)
Et c’est de boire oui, oui, oui,
et c’est de boire, non, non, non
Et c’est de boire avant de mourir (bis)

MARION
Quand Marion va au moulin (bis)
Pour y faire moudre son grain (bis)
Elle monte sur son âne,
à l’âne, à l’âne, à l’âne
Elle monte sur son âne Martin
Qui allait au moulin

REFRAIN
Et au petit trot, petit trot, petit trot
C’est le refrain de la meunière
Et au petit trot, petit trot, petit trot,
C’est le refrain de son moulin

2 Quand le meunier la voit venir (bis)
De rire ne peut se retenir (bis)
Attachez là votre âne, à l’âne…
Attachez là votre âne Martin
Qui allait au moulin

3 Pendant que le grain se moulait (bis)
Et que Marion bavardait (bis)
Le loup a mangé l’âne, à l’âne…
Le loup a mangé l’âne Martin
Qui allait au moulin

4 Que dire à mon mari là-bas (bis)
Quand son âne ne le verra pas (bis)
Il me battra pour l’âne, à l’âne…
Il me battra pour l’âne Martin
Qui allait au moulin

5 J’ai dix écus dans mon gousset (bis)
Prenez-en sept, laissez-m’en trois (bis)
Pour acheter un autre âne, à l’âne…
Pour acheter un autre âne Martin
Qui allait au moulin

6 Quand son mari la voit venir (bis)
De colère ne peut se retenir (bis)
Ce n’est pas là notre âne, à l’âne…
Ce n’est pas là notre âne Martin
Qui allait au moulin….

DEBOUT CAMARADE
Debout camarade,
il est temps de s’en aller
Sur la route au pas bien rythmé.
Debout, sac au dos car nous allons camper
Dans notre pays bien-aimé
Par les bois, les champs, sous le gel, sous le vent
La nature accompagnera nos chants

REFRAIN
Allons amis, car la route est belle
En avant, il est temps de partir
Tris la la, tris la la (bis) lala
Allons amis car la route est belle,
En avant, il est temps de partir.

2 Dessous le bois frais qu’il fait donc bon marcher
Sac au dos lourdement chargé
Gravons nos pas dans la poussière du chemin
Malgré la fatigue et la faim.
À travers les grands bois
Et les ruisseaux chantants
Pour là-bas le repas gagné nous attend.

AH ! QUE NOS PÈRES
Ah ! Que nos pères étaient heureux (bis),
quand ils étaient à table
Le vin coulait à côté d’eux (bis),
ça leur était fort agréable

REFRAIN
Ils buvaient à pleins tonneaux,
comme des trous
Comme des trous, morbleu,
bien autrement que nous

2 Ils n’avaient ni riches buffets (bis),
ni verres de Venise
Mais ils avaient des gobelets (bis),
aussi grands que leurs barbes grises

3 Ils ne savaient ni le latin (bis),
ni la théologie
Mais ils avaient le goût du vin (bis),
c’était là leur philosophie

4 Quand ils avaient quelques chagrins (bis),
ou quelques maladies
Ils plantaient là le médecin (bis),
apothicaire et pharmacie.

LA BOHÈME
Chante et danse la bohème,
faria, faria ho
Vole et campe oò Dieu la mène,
faria, faria ho !
Sans souci au grand soleil,
coule des jours sans pareils
Faria, faria, faria, faria, faria ...ho !

2 Dans sa bourse rien ne pèse, faria...
Mais son cœur bat tout à l’aise, faria...
Point de comptes et point d’impôts
Rien ne trouble son repos Faria……………ho
3 Quand la faim se fait tenace, faria…
Dans les bois se met en chasse, faria…
Tendre biche ou prompt chamois
Lui feront un plat de roi Faria…………….ho

4 Si la soif brûle sa gorge, faria…
Au ravin la source est proche, faria…
Eaux plus claires que l’Asti,
En vous tout le ciel sourit Faria…………….ho

5 Sur la mousse ou dans la paille, faria…
Trouve un lit fait à sa taille, faria…
Cœur léger, Bohème dort
Que n’éveille aucun remords Faria…………….ho

6 Est si mince son bagage, faria….
Que sans peine déménage,faria…
Dans le ciel, quand Dieu voudra,
En chantant s’envolera. Faria…………..ho

BONSOIR
Bonsoir, bonsoir,
la brume monte du sol
On entend le rossignol,
la brume monte du sol
On entend le rossignol,
bonsoir, bonsoir.

CHANTONS AU VENT
Au vent du large, le vent du large,
chante sans t’arrêter (bis)
Tu me diras si le vent du large
ne forge ta volonté
Et tu verras dans la joie sauvage
ton cœur épris de beauté

Au vent chantons, chantons au vent (bis)

2 Au vent de peine, le vent de peine,
chante sans t’arrêter (bis)
Tu me diras si la peine amère
résiste au vent d’amitié
Et tu verras au fond des chaumières
briller un soleil d’été

3 Au vent d’aurore, le vent d’aurore,
chante sans t’arrêter (bis)
Tu me diras si la brise
chante le clair matin qui renaît
Et tu verras fleurir l’espérance
dans les bougeons éclatés

4 Au vent d’orage, le vent d’orage,
chante sans t’arrêter (bis)
Tu me diras si l’orage emporte
des cimes les grands rochers
Et tu verras, au vent des tourmentes
ton cœur briller de fierté

5 Au vent des plaines,
le vent des plaines,
chante sans t’arrêter (bis)
Tu me diras si la terre entière
n’est pas dans un cœur aimé
Et tu verras dans l’immense plaine,
les lourds épis se dorer

6 Au vent des cimes, le vent des cimes,
chante sans t’arrêter (bis)
Tu me diras si, dans la montagne,
l’air pur ne t’a pas grisé
Et tu verras, sur les pentes rudes,
ton âme aussi s’élever

PRIÈRE DU SOIR
Quand la nuit descend sur la terre
Quand le soir s’étend dans les bois
Vers TOI monte notre prière
Seigneur daigne entendre notre voix
Dans le camp tout baigné de silence
Éclairé des derniers feux du jour
Nous chantons vers le Dieu d’espérance
Ce chant du soir qu’a dicté notre amour

REFRAIN
Seigneur qui vois le secret de notre âme
Emplis nos cœurs de l’ardeur de ta foi
Afin qu’unis dans une même flamme
Nous nous courbions devant TOI…

HÉ, GARÇON
Hé garçon prends la barre
Vire au vent et largue les ris.
Le vent te raconte l’histoire
Des marins couverts de gloire
Il t’appelle et tu le suis.

2. Vers les rives lointaines
Que tu rêves tant d’explorer
Et qui sont déjà ton domaine.
Va tout droit sans fuir la peine
Et sois fier de naviguer

3. Sur mer et sur terre
Au pays comme à l’étranger.
Scout, sois fidèle à tes frères,
Car tu as promis naguère
De servir et protéger

L’APPEL AU FEU DE CAMP
Holà, dedans le campement
Groupons-nous, un instant
Près de la claire flamme,
Pieds tendres comme les vieux loups.
Accourons, laissons tout,
Le conseil nous réclame

2. Gardien du feu, tu peux porter
La flamme à ton foyer
Et que le feu pétille
Silence parmi les taillis,
Soyons tous reccueillis,
Au conseil, le feu brille.

CLAIR MATIN
Le matin tout resplendit, tout chante
La terre rit, le ciel flamboie
Mais pour nous qu’il pleuve, tonne ou vente,
De tous temps nous chantons notre joie

REFRAIN
Car chaque jour est un jour de fête,
Dans notre cœur le soleil luit toujours
Vibrant de joie, d’élans et d’amour
Notre âme fière chantera toujours

2. On dit bien que la vie est maussade
Que chaque jour est un souci.
Nous savons la prendre en camarade,
Lui sourire et lui dire merci…Refrain

LA CLOCHE DU VIEUX MANOIR
C’est la cloche du vieux manoir Du vieux manoir
Qui sonne le retour du soir
Le retour du soir C’est la cloche…(Canon)

NOUS ÉTIONS TROIS CAMARADES
Nous étions trois camarades
Tous les trois que nous partions
L’un s’en va vers la Hollande
Et l’autre dans le Piemont,
Et moi qui suis le plus jeune,
Je m’en vais dans les dragons.

2 Mais avant que de partir,
Il faut faire nos adieux.
Nos adieux à toutes ces filles
Qui en ont les larmes aux yeux.
Surtout ma belle Joséphine
Qui s’arrache les cheveux.

3. Ah, pleure donc pas tant ma belle
Dans sept ans je reviendrai.
Lorsque finira la guerre
Dans ces pays étrangers,
Ma fortune sera faite
Alors, je t’épouserai.

4. Ta fortune sera bientôt faite
Par un boulet de canon
Qui t’emportera la tête,
les deux jambes sans façon
Le bout de ta baïonnette
Te servira de bâton.

LE FEU BRILLE
Le feu brille et la forêt palpite
Notre chef est parmi nous
Il nous parle des temps héroïques
Où des preux luttaient pour nous
Sur nos têtes le vent crie et passe
Par ce souffle les chênes frémissent
Le feu brille et la forêt palpite
Notre chef est parmi nous.

L’ALPHABET SCOUT
Un jour la troupe campa A,A,A
La pluie s’mit à tomber B,B,B
L’orage a tout cassé C,C,C
Faillit nous inonder A,B,C,D

2. le chef s’mit à crier E,E,E
À son adjoint Joseph F,F,F
Fais-nous vite à manger G,G,G
Les scouts restent sous la bâche E,F,G,H

3 les oiseaux dans leur nid I,I,I
Les loups dans leur logis J,J,J
Chahutent avec fracas K,K,K
Avec les hirondelles I,J,K,L

4. Joseph nous fit de la crème M,M,M
Et du lapin d’garenne N,N,N
Et même du cacao O,O,O
Mes amis, quel souper M,N,O,P

5 soyez bien convaincus Q,Q,Q
Que la vie au grand air R,R,R
Fortifie la jeunesse S,S,S
Renforce la santé Q,R,S,T

6 Maintenant qu’il n’pleut plus U,U,U
Les scouts vont se sauver V,V,V
Le temps est au beau fixe X,X,X
Plus besoin qu’on les aide U,V,X,Z

ENFANT DE LA MONTAGNE
Enfant de la montagne,
j’y retourne, j’y retourne
Enfant de la montagne,

j’y retourne en chantant
La fatigue me gagne,

mais mon cœur est content (bis) (canon)

M A R I N E
C’était un bateau, qu’était grand, qu’était beau
Ohé les matelots !
Il fendait les vagues, il fendait les flots
Ohé les matelots !
Sur la mer immense, chantaient les matelots.

2. Partis en voyage aux pays lointains
Ohé les matelots !
L’épée de St-Jacques montrait le chemin
Ohé les matelots !
Sur la mer immense, voguaient les matelots.

3 Un soir la tempête survint brusquement
Ohé les matelots !
Et tout l’équipage luttait dans le vent
Ohé les matelots !
Sur la mer immense, luttaient les matelots

4 Le vent a soufflé quatre jours et trois nuits
Ohé les matelots
Et dans la tempête se sont endormis
Ohé les matelots !
Sous la mer immense, dormaient les matelots.

CLAIRE FONTAINE(deuxième version)
À la claire fontaine,
M’en allant promener ohé, ohé
J’ai trouvé l’eau si belle
Que je m’y suis baigné ohé, ohé
Je suis le roi d’Espagne,
J’aime les filles aux yeux noirs
Là-haut sur la montagne,
Nous irons danser ce soir
Tous les soirs
Dig, dig dong Dig, dig, dong,
Tous les soirs nous dansons.

LA LÉGENDE DU FEU
Les scouts ont mis la flamme aux bois résineux
Écoutez chanter l’âme qui palpite en eux !

REFRAIN
Monte flamme légère,
feu de camp si chaud, si bon
Dans la plaine ou la clairière,
monte encore et monte donc !
Feu de camp si chaud, si bon !

2 J’étais jadis un princeperfide et méchant,
dépeuplant sa province de petits enfants.

3 Me tendit ses embûches, l
’enchanteur Merlin
M’enferma dans les bûches
du grand bois voisin.

4 Je m’installe en vos chambres
à votre foyer
Pour réchauffer vos membres
et vous égayer.

5 J’entre dans la cuisine
et fais chanter l’eau,
Et je sors de l’usine
par le haut-fourneau.

6 Ma leçon, la dernière ,
vous dit : mes enfants
On ne fait rien sur terre
qu’en se consumant !

Ô FLAMME MONTE
Ô flamme monte que ta lumière
Nous purifie, guide nos cœurs

DU FAGOT
Du fagot jaillit la flamme,
Xhantons le feu
Quel joli bouquet d’étoiles
Dans le ciel bleu
Du fagot jaillit la flamme,
Chantons le feu.

J’AI LIÉ MA BOTTE
Au bois voisin il y a des violettes
De l’aubépine et de l’églantier
J’ai lié ma botte avec un brin de paille
J’ai lié ma botte avec un brin d’osier
2 j’y vais le soir pour y faire la cueillette
En gros sabots et en tablier
J’ai lié ma botte…

LE VIEUX JO
Ils ne sont plus, les beaux jours de l’amitié
Tous mes amis ont quitté les cotonniers
Ils sont partis au pays du grand repos
J’entends leurs douces voix chanter ‘’Eho vieux Jo’’

REFRAIN
Me voilà, me voilà, tout brisé par les travaux
J’entends leurs douces voix chanter ‘’Eho vieux Jo’’
2 Pourquoi pleurer quand mon cœur est toujours gai
Pourquoi gémir, ils ne peuvent revenir
Depuis longtemps ils sont tous partis là-haut
J’entends leurs douces voix chanter ‘’Eho vieux Jo’’

3 Où sont-ils donc ces amis qu’on aimait tant
Et ces enfants qu’on berçait si doucement
Ils sont heureux, près d’eux je serai bientôt
J’entends leurs douces voix chanter ‘’Eho vieux Jo’’

CHANT DES MARAIS
Loin dans l’infini s’étendent
les grands près marécageux
Pas un seul oiseau ne chante
dans les arbres secs et creux

REFRAIN
Ô terre de détresse
où nous devons sans cesse
piocher, piocher

2 Dans ce camp morne et sauvage,
entouré de murs de fer
Il nous semble vivre en cage,
au milieu d’un grand désert

3 Bruit des chaînes, bruit des armes,
sentinelle jour et nuit
Des cris, des pleurs et des larmes,
la mort pour celui qui fuit

4 Mais un jour dans notre vie,
le printemps refleurira
Libre alors Ô ma patrie,
je dirai tu es à moi
Ô terre d’allégresse
où nous pourrions sans cesse
Aimer, Aimer

LE SOIR DESCEND
Le soir descend
La nuit s’étend
sur notre camp (Canon
)

AUTOMNE
Colchiques dans les près fleurissent, fleurissent
Colchiques dans les près, c’est la fin de l’été

REFRAIN
La feuille d’automne, emportée par le vent
En ronde monotone, tombe en tourbillonnant

2 Châtaignes dans les bois se fendent, se fendent
Châtaignes dans les bois se fendent sous nos pas

3 Nuages dans le ciel s’étirent. s’étirent
Nuages dans le ciel s’étirent comme une aile.

4 Et ce chant dans mon cœur murmure, murmure
Et ce chant dans mon cœur appelle le bonheur




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